Last updated on 5 mars 2019
Loin de moi l’idée de relancer le débat sur la fessée dans l’éducation de ses enfants, je souhaite vous parler d’un sujet bien plus excitant : la fessée érotique.
Un jour, tout au début de notre relation, j’ai demandé à Madeleine ce qui lui ferait plaisir, lors de notre prochaine rencontre. A l’époque, nous ne nous voyions au mieux que tous les 15 jours, ce qui laissait du temps pour échafauder des scénarios et affiner des fantasmes…
Et là elle m’a répondu : « La prochaine fois, j’aimerais bien une fessée… »
Oui. Elle voulait que je la tape. Moi, le non-violent convaincu. Bon. Admettons. Je lui ai donc demandé comment elle voyait ça, et si elle avait déjà « pratiqué ». Et là elle m’a dit que c’était une première pour elle aussi, et que si ça me branchait j’avais qu’à me démerder… (note de Madeleine : j’ai dit ça moi ? Rooooo…)
Comme effectivement la curiosité me titillait, je suis donc allé me documenter sur la fessée érotique, histoire de voir si ça pouvait me plaire, mais également bien décidé à lui faire plaisir avant tout. Ça sert d’avoir un esprit scientifique…
Et plus mes recherchent avançaient, plus l’excitation montait… Je suis tombé notamment la-dessus. Ça commençait à devenir intéressant…
Me voilà donc en train de peaufiner un scénario (faut bien avoir une raison pour taper quelqu’un… Punaise, qu’est-ce que je suis en train de dire !!!), et de demander à Madeleine qu’elle se trouve une culotte en mousseline… Seulement scenario veut dire jeu acteur. Et mon amante amoureuse a beau être Eva Green, et moi Frédéric Diefenthal, nous n’avons définitivement pas le même talent d’acteur…
Et nous voilà donc le jour J. Elle avec sa jolie culotte sous sa jupe, et moi avec toute ma bonne volonté… Et nous voilà partis en crises de rire nerveux à moitié contenus, tandis-que je l’installe sur mes genoux pour lui administrer quelques fessées… Il faut bien dire que cette première fois n’a pas été très concluante. Nous avons toujours eu beaucoup de mal à jouer un rôle. Mais nous avons bien ri et nous avons facilement dérapé vers une bonne partie de sexe.
Le tournant a eu lieu plus tard. Le jour où en fait j’ai réussi à ne pas jouer. Mais à convertir ma frustration, à la canaliser et la fusionner avec mon désir sexuel. Une pulsion de mort mélangée à une pulsion de vie. Et ce jour-là dans mon regard Madeleine a su que ce n’était plus un jeu. Enfin si bien sûr, mais nous sortions du rôle de composition. Le cul de Madeleine s’en souvient encore. Et la partie de sexe qui s’en est suivie a été phénoménale. Ça a été le début d’une approche un peu plus sauvage de notre sexualité.
Le lendemain de cet épisode, au vu des photos du cul de Madeleine (qui était toute fière de ses bleus…), j’ai quand même un peu flippé. Heureusement que nous avons depuis le début un safe-word entre nous… Mais nous avons compris qu’effectivement la fessée avait un fort pouvoir érotique. Intellectuellement, physiquement, psychologiquement, pour l’un comme pour l’autre. De la douleur, de la contrainte, peut naître le plaisir. A partir du moment où tout le monde est consentant bien-sûr.
Comment ça on est sado-maso ? Allez-donc dire ça à Madeleine! (note de Madeleine : effectivement, je confirme, je ne me pense pas maso. Suis-je la seule à aimer la fessée et à ne pas me sentir maso ?)
Depuis longtemps ce fantasme me trottait j ai demandé à un partenaire la pratique de la fessée érotique bien entendu ça me procure du plaisir et depuis je vit a travers de ce jeu