Last updated on 27 mars 2021
Ils avaient rencontré T au hasard d’une vente sur le bon coin. Une petite quarantaine, les tempes déjà grises, une allure élancée, probablement sportif, il avait immédiatement plu à Madeleine.
Malheureusement, malgré la courte robe d’été qu’elle avait pris soin d’enfiler, seul rempart de tissus sur son corps nu, T n’avait eu d’yeux que pour l’instrument qu’il était venu acheter à James. La transaction s’était déroulée rapidement, sur le parking ensoleillé d’un centre équestre.
Un peu déçus ils avaient tout de même profité de la chaude après-midi pour une balade coquine au milieu des champs. Le soir venu ils avaient reçu un message de T, enthousiaste à propos de son achat. En réponse, ils lui envoyèrent une photo de leurs mains tenant leurs verres en arrière-plan de laquelle on apercevait clairement les cuisses entrouvertes de Madeleine. L’invitation était sans équivoque et ils espéraient qu’elle serait entendue…
Elle le fut… Quelques jours plus tard, James reçu un nouveau message de T qui demandait si lui « ou sa charmante compagne » avait un autre instrument à lui proposer. James lui avait alors proposé de passer à la maison pour boire un verre afin qu’il puisse regarder et essayer ce qui lui plairait. Rendez-vous fut fixé…
Le jour venu, Madeleine accueilli T vêtue d’une petite robe noire plutôt courte et décolletée, à nouveau nue en dessous. Ils prirent tranquillement l’apéro en discutant musique. L’ambiance était très détendue et le courant passait bien entre les trois. Tout naturellement Madeleine s’assit sur les genoux de James qui commença à lui caresser nonchalamment les jambes. Les bavardages continuèrent et les mains de James remontèrent le long de ses cuisses, retroussant largement la robe. Madeleine ne quittait pas T des yeux et essayait de deviner la douceur de son membre et la place qu’il prendrait dans son ventre. T, lui avait les yeux rivés sur les cuisses maintenant largement ouvertes de Madeleine. Elle se leva et vint s’asseoir à califourchon sur les genoux de T. Celui-ci la pris par la taille et l’embrassa. Madeleine fit onduler son bassin pour caresser son sexe qu’elle sentait déjà dur à travers le tissu du pantalon. James se rapprocha d’elle et lui enleva sa robe légère. Nue entre les deux hommes, Madeleine frissonna et la pointe de ses seins se durcit. T en saisi un entre ses lèvres et commença à l’agacer du bout des dents. Elle prit dans sa bouche le sexe que James venait de libérer de son pantalon. Très vite elle branla également celui de T. Elle le devinait de bonne taille, plutôt long mais plus fin que celui de James. Pour s’en assurer elle s’agenouilla entre les jambes de T et joua avec de ses doigts et de sa bouche. Elle tendit la croupe à James qui vint se positionner entre ses jambes pour la lécher consciencieusement. Les gémissements commencèrent à emplir la pièce.
Madeleine aimait être menée durant le sexe et se soumettre aux désirs de l’homme. T du s’en rendre compte car il délaissa brusquement son attitude passive et se releva. James lui céda la place et s’installa confortablement dans le canapé pour que Madeleine le suce. T, de son côté, s’enfonça brusquement dans le ventre trempé de Madeleine. La tenant fermement par les hanches il commença ses vas et vient, d’abord assez lents, puis, encouragé par les mouvements de Madeleine, de plus en plus énergiques et rapides. Les cris de plaisir de Madeleine étaient assourdis par la grosse queue de James qu’elle suçait tout aussi vigoureusement.
C’était la première fois qu’elle était ainsi seule offerte à deux hommes. Ils avaient déjà souvent coquinés avec d’autres couples, mais il y avait toujours eu autant de femme que d’hommes sur le matelas. Se sentir seul objet du désir de ces deux mâles en rut excitait Madeleine au plus haut point et les contractions de son vagin ajoutaient au plaisir de l’homme qui grognait dans son ventre.
James fit un signe à T, lui indiquant qu’il voulait la place. Ensemble ils aidèrent Madeleine à s’installer sur le dos, en travers sur la table de la cuisine, offrant ainsi sa chatte à James et sa bouche à T. La queue de James lui arracha un gémissement de bonheur, elle en connaissait par cœur la douceur, la chaleur et l’arrondi de son gland. Son vagin élastique se distendait pour l’accueillir bien profondément. James connaissait parfaitement les goûts de sa chérie et donna d’entrée de jeux des coups puissants et vigoureux. T, de son côté, baisait la bouche de Madeleine, bien profondément comme le lui permettait la position de Madeleine. La pièce s’emplit à nouveau des grognements et des gémissements des trois amants.
Un peu plus tard, après la vague de jouissance qui les avaient emportés tous les trois, Madeleine gisait, un peu KO, sur la table et les deux garçons étaient allés se resservir un verre. Elle s’endormit…
Une langue chaude et humide entre ses cuisses la réveilla. James s’en aperçut et l’invita à le suivre sur le canapé maintenant déplié où T les attendait, un verre à la main. Après lui avoir proposé également à boire, James la fit s’installer à genoux sur le canapé, la bite de T à portée de sa bouche et le cul bien en l’air. Il recommença à la lécher, s’attardant d’abord sur sa chatte, puis remontant inexorablement vers son cul. Madeleine frémit, elle savait ce qu’il avait en tête, ça n’était pas difficile à deviner. Elle commença à donner des petits baisers sur la queue de T qui bien vite redevint dure. Le sexe de T était bien gros dans sa bouche quand James positionna son gland à l’entrée de son cul. Instinctivement Madeleine se raidit, mais elle savait qu’elle devait se détendre pour faciliter le passage alors elle se laissa aller, confiante en son amant. Ce n’était pas la première fois qu’il la sodomisait, loin de là, mais elle avait l’impression que chaque fois était un nouveau challenge, la queue de son homme lui paraissant systématiquement plus grosse que la fois d’avant.
Lentement mais inexorablement, James s’enfonça dans son cul. Madeleine gémit et suça T de plus belle. Ce dernier, probablement très excité par la scène qui se jouait devant ses yeux devenait encore plus gros et dur. Il prit la tête de Madeleine entre ses mains et commença à lui imposer son rythme. James quant à lui limait maintenant brutalement le cul de Madeleine. Ainsi à la merci des deux hommes, Madeleine criait de plaisir, autant que lui permettait le membre qui lui emplissait la bouche.
Ensuite, connaissant le fantasme – pas très secret – de Madeleine, lui James proposa de s’empaler sur la queue de leur complice. Elle ne se fit pas prier et enfourcha l’homme, avalant sa queue dans son ventre. Puis elle se pencha en avant et tendit son cul à son amant. Il y rentra à nouveau et recommença à la limer, plus doucement qu’auparavant afin de lui laisser le temps de s’habituer à ces deux bites qui l’habitaient. Mais très vite, les mouvements de bassins et les gémissements de Madeleine firent comprendre aux deux compères qu’ils devaient accélérer le mouvement et ils se mirent en cadence à lui défoncer le cul et la chatte. Madeleine au-dessus d’eux criait de plaisir. De temps en temps un des deux hommes faisait signe aux deux autres de cesser de bouger quelques instants afin qu’il puisse redescendre un peu et retarder l’explosion finale.
Finalement, n’y tenant plus, Madeleine porta sa main à son clitoris qu’elle n’eut qu’à effleurer pour provoquer un gigantesque orgasme. Ses convulsions de plaisir provoquèrent à leur tour la jouissance des deux hommes qui grognèrent de plaisir en l’inondant de sperme.
Ils s’écroulèrent sur le canapé et s’endormirent comme des souches.
Lorsque Madeleine et James se réveillèrent, T était partit, non sans avoir laissé un petit mot sur un post-il « Quel plaisir de faire affaire avec vous, je surveillerai vos prochaines annonces sur le bon coin. Amicalement, T. ».